Ma volonté est de témoigner, au travers de mes images, de la beauté de la vie sauvage mais aussi des menaces qui pèsent sur elle…
En quelques mots…
Erwan Balança a toujours été attiré par la faune sauvage et les paysages naturels. Il pratique la photographie naturaliste de façon professionnelle depuis plus de 20 ans. Il est basé à proximité du lac de Grand-Lieu (Loire-Atlantique), mais passe le plus clair de son temps sur le terrain à saisir des instants exceptionnels. Pour lui, une bonne photographie est le fruit de l’amour et du respect du sujet, mais aussi de la patience et du temps investi pour la prise de vue.
Il n’hésite d’ailleurs pas à passer des dizaines d’heures caché dans des affûts pour rapporter des images étonnantes. Bien que son travail le conduise régulièrement à travers le monde, il garde une affection toute particulière pour les marais et les ruisseaux de son enfance qu’il photographie toujours avec autant de plaisir.
la clé d’une bonne photographie est la patience, le temps passé avec l’animal. Il ne reste plus ensuite qu’à attendre d’avoir la bonne lumière, ce qui peut prendre plusieurs jours, voire parfois plusieurs semaines…
Presse
Erwan Balança a collaboré avec de nombreuses revues en France et à l’étranger comme Géo, National géographique, Terre sauvage, Bretagne magasine, Chasseur d’images, Nat’Images, Image et Nature, Armen, L’oiseau magasine pour ne citer qu’elles.
Expositions
Il a aussi participé à de nombreuses expositions présentées en France : Visa pour l’image / Montier en Der / Festival de Menigoute / Festival de l’Oiseaux / …
Mais aussi en Belgique (dont une exposition au parlement européen et une au comité des régions à Bruxelles), en Suisse, au Japon…
Voyages
Il est également guide et accompagnateur sur des voyages photos sur des destinations sauvages comme Spitzberg, l’Alaska, la Colombie Britannique, l’Écosse, laGéorgie du sud…
La nature à nos portes est tout aussi spectaculaire et fantastique que celle, plus médiatisée, des grandes savanes africaines ou des forêts tropicales. Elle est là, sous nos yeux, et nous n’y accordons que trop peu d’attention.